The Man – Aloe Blacc
Hello :) Vous allez bien? Pour moi aujourd’hui c’est day off (ou presque puisqu’il y a les révisions) alors je me suis dit que j’allais vous proposer quelque chose de tout doux, tout moelleux… d’où le bon gâteau qui vous attend! C’était mon gâteau d’anniversaire alors vous vous doutez bien que j’y ai mis les choses que je préfère et en bonne quantité ^^ Mais ce n’est pas écoeurant alors vous pouvez y aller!
Il vous faut: 125g de farine, 125g de beurre, 220g de sucre, 1 tablette de chocolat (200g), 4 oeufs, 1/2 sachet de levure.
Préchauffez le four à 180°. Faites fondre le chocolat dans une casserole. Hors du feu, ajoutez le beurre,la farine et la levure.
Préparez une mousse avec le jaune d’oeuf et le sucre. Ajoutez à la préparation chocolatée.
Battez les blancs en neige et incorporez-les dans la casserole tout doucement. Versez le tout dans un moule à bords haut beurré et enfournez pendant environ 30 minutes.
Vous pouvez comme moi lui ajouter la sauce au caramel beurre salé, vous retrouverez sa recette ici et voici les étapes:
Faites votre caramel au beurre salé avant le gâteau de préférence.
A l’aide d’un cercle, faites un trou au milieu du gâteau pour faire une sorte de puits dans lequel vous versez le caramel beurre salé. De cette façon le gâteau va bien s’en imprégner et vous en aurez le goût partout, évidemment j’en ai mis largement assez pour que ça déborde sur les côtés.
Avec le cercle de gâteau qui me restait j’ai fait des petits carrés et les ai disposé sur le gâteau. Et j’ai rajouté une petite lichette de caramel beurre salé. Et sur les parts individuelles aussi. Mais bon, vous pouvez être moins gourmands, je vous en veux pas.
Des bisous
Que de photos gourmandes et alléchantes…
Pour une addict au choco comme moi, cette recette est un supplice (oui j’essaye de me déaddicté du chocolat en ce moment!)
Nooon pourquoi se déaddicter? C’est un bon aliment contre le blues!
Quelle tuerie ce moelleux !
Wouhhhh la la , je fonds pour ce fondant tellement il a l’air bon!
Le chocolat et moi,je crois qu’on ne fait qu’un seul!